PARCE QUE C’ÉTAIT LUI, PARCE QUE C’ÉTAIT MOI…
Roberto Ciurleo : « Quand tu es face à quelqu’un qui te parle aussi sincèrement que Frank, tu ne peux qu’être touché. Contrairement à lui, qui est surtout resté un homme de radio, je suis déjà dans la production de comédies musicales depuis une dizaine d’années. Ce spectacle, c’est aussi un cadeau que je lui fais, un hommage que j’essaie de rendre à son père. Au cours de la production, quand j’avais des mauvaises nouvelles, je les lui ai épargnées. Quand j’en avais des bonnes, j’étais heureux de les lui annoncer. Parfois, on a eu des conversations, on avait les larmes aux yeux. C’était très fort… »
Frank Montel : « Avec Roberto, on a la même culture, le même parcours, la même sensibilité et les mêmes goûts musicaux. On se ressemble, tout en étant très complémentaires. Il m’apporte beaucoup et va sublimer mon idée de « Je Vais T’aimer », un spectacle musical que je renferme secrètement dans mes tiroirs depuis quelques années. Avec Roberto, lorsqu’on a acté le fait de se lancer dans cette aventure, on s’est pris dans les bras. Je crois que nous étions aussi émus l’un que l’autre. Depuis, quelques années ont passé et je le considère vraiment comme un frère. Un frère à qui j’ai donné le cap de l’Atlantique pour cette aventure musicale et il en sera le capitaine, comme celui du « FRANCE » pour cette story de Je Vais T’aimer. »